- Le Christ aime qu'on lui préfère la vérité, car avant d'être le Christ, il est la Vérité.
- Si on se détourne de lui pour aller vers la vérité,
- on ne fera pas un long chemin sans tomber dans ses bras.
- (Simone Weil)
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L'incendie
Après
avoir déclaré que c'est un faux
! Ils essayent de le bruler.
Déjà le 1er octobre 1972 une
tentative d'incendie criminel avait
échoué. En 1990, des
malfaiteurs ont réussi à
pénétrer à l'aide de
cordes dans la chapelle royale pour y
déverser de l'essence à
laquelle le feu a été mis. Le
début de l'incendie n'a heureusement
endommagé que le reliquaire. Par
contre, durant la nuit du 11 au 12 avril
1997, un nouvel incendie faillit
détruire le Suaire. C'est vers 23
heures que Guido Principe, un turinois
appercu les flames de sa maison et donna
l'alerte. En effet un violent incendie
d'origine criminelle ravagea la
cathédrale de
Turin, détruisant la chapelle Guarini,
vieille de trois siècles. Le feu se
déclara dans la chapelle Chapel
Guarini où était
entreposé le Suaire et qui
était en cours de rénovation.
Le feu se propagea rapidement à la
Cathédrale et à l'aile Ouest du
Palais Royal. L'exploit
télévisé d'un jeune
pompier Mario Trematore qui au péril
de sa vie, se jeta dans la fournaise, et
arracha, in-extremis, le Suaire de la chasse
de cristal en utilisant une hache, avait
boulversé l'opinion modiale (sauf les
média français qui
passèrent sous silence cet
évènement). Ce verre
blindé de plusieurs épaisseurs
avait été calculé pour
résister à une attaque à
la lance roquette. L'ingénieur qui
conçu le reliquaire de protection du
Linceul est affirmatif : il est impossible
à un pompier armé d'une simple
hache de briser le verre blindé,
surtout pas le dernier coup sur le
côté droit.- Si c'était vraiment un faux
pourquoi vouloir le faire disparaître.
C'était la ènième
tentatives pour se débarasser du
Suaire en le
brulant.
On prétend que c'est un court-circuit
électrique qui a provoqué
l'incendie! Néanmoins, on trouva un
bidon d'essence vide dans le jardin adjacent
au Palais Royal. D'autre part plusieurs
responsables penchent pour la thèse
d'un acte criminel. Vittorio Messori, un
spécialiste du Suaire est convaincu
que ce n'était pas un accident. "C'est
un objet qui possède une forte
attraction, on le vénère ou on
le hait" dit Messori. -
C'est vrai qu'on n'était pas là avec un appeil photo pour les prendre en fragrant délit, mais nous faire croire qu'un trésor si unique serait victime d'un vulgaire court-circuit? Il est assez facile de mettre le feu à un batiment.